Etude-voyage-Nautilus
A compter du 6 novembre, le professeur Aronnax, Conseil ainsi que Ned Land embarquent à bord du Nautilus. De là, commence un long trajet que nous étudierons.
Aparté : avant le voyage
Après un choc entre la créature mystérieuse et l'Abraham Lincoln, Le professeur Aronnax, notre narrateur, ainsi que son fidèle assistant Conseil se trouve hors de la frégate, perdus en mer. Finalement, ils rencontrent Ned Land, qui a trouvé appui sur l'être initialement poursuivi.
"c'était un phénomène plus étonnant encore, un phénomène de mains d'homme"
"Nous étions étendus sur le dos d'une sorte de bateau sous-marin"
Ils s'apprêtent alors à découvrir la vérité et commencent à changer leur vision sur ce qui était jusqu'à présent un mystère ; ils finissent par y rentrer
"Nous entrainent dans leur formidable machine"
La pièce où ils sont emmenés est dans l'obscurité la plus totale, ils finissent par s'y assoupir
"Quelle fut la durée de ce sommeil, je l'ignore"
Cette journée est entièrement dédié à la révélation du navire; tout d'abord d'une perte de son équipage avec principalement le capitaine Némo. De sa part, le professeur Aronnax reçoit une visite en détails, avec beaucoup de précisions sur son fonctionnement
Le voyage
Position : 37°15' Ouest du méridien de Paris 30°7' Nord ce qui équivaut à environ 300 milles(environ 480km) des côtes japonaises
Vers Est Nord-Est, le soir vers Nord Nord-Est
Vitesse de 15 milles à l'heure
Profondeur de 50 m
A midi moins le quart le Nautilus remonte à la surface pour connaitre sa position grâce à des relevés de mesures.
"C'est aujourd'hui 8 novembre à midi que commence notre voyage d'exploration sous les eaux".
Par la suite, le professeur, la classification ainsi que le harponneur se trouvent réunis dans le salon.
"les panneaux se manœuvraient sur les flancs du Nautilus".
Les masses liquides (l'eau) vivement éclairées leur offrent alors un merveilleux spectacle. Ils restent alors dans cet état d'admiration jusqu'au moment où les trappes se referment.
"Ned Land et Conseil retournèrent à leur cabine. Moi je regagnais ma chambre".
Position : Vers Est Nord-Est
Vitesse de 12 mille à l'heure
Profondeur entre 50 et 60 m
Découverte des vêtements proposés à bord : des vêtements de byssus, ce qui conforte cette idée d'indépendance au monde émergent.
"Je me plongeais dans l'étude de ces trésors".
Monsieur Aronnax, en ses qualités de professeur, passe sa journée à étudier au grand salon.
Un "abandon", une "solitude" se fait ressentir. Voilà 2 jours que les visiteurs n'ont pas aperçu le moindre équipage (pas même le capitaine).
Ils sont tout de même loin de se plaindre : "entière liberté", "délicatement et abondamment nourris".
C'est sur ce jour que le journal commence à être rédigé.
Le 11 novembre (et jusqu'au 15 novembre) : un jour sans fin
Le navire est remonté à la surface à 6 heures du premier jour.
Le professeur Aronnax sont sur la plate-forme et apprécie alors un lever de soleil.
"Ce fut son second [...] qui apparut"
Le second du capitaine Némo vient relever les mesures et prononce une même phrase quotidiennement avant de regagner le panneau.
"Nautron respoc lorni vinch".
Imitant ce dernier, la narrateur redescendait pensant
"Que le Nautilus allait reprendre sa navigation sous-marine".
Après ce premier jour où il décide de ne plus remonter à la surface, "rentré dans ma chambre avec Ned et Conseil, je trouvai sur la table un billet à mon adresse".
La lettre se trouve être une invitation "à une partie de chasse qui aura lieu demain matin dans ses forêts de l'île de Crespo".
Il convie également ses compagnons à y prendre part. Une fois laissé par ses compagnons il prend son repas sans avoir plus d'informations de la part du steward qui le sert.
Position : Île de Crespo 32°40'N 167°50'O
A environ 1800 milles du point de départ con dérivé vers le Sud-Ouest
Notre narrateur se rend au grand salon où il trouve le capitaine qui l'attend.
"Ce ne sont point des forêts terrestres, mais bien sous-marines".
Les invités apprennent la réelle nature de cette chasse puis sont conviés à un grand déjeuner. Il s'agit tout d'abord d'un sentiments de surprise qui domine. Cette plongée va nécessiter tout un matériel adéquate : un scaphandre, l'appareil houquayrol (bouteilles d'oxygène) et l'appareil Ruhmkorff (lampe), un fusil à air.
"Ainsi pourvu, je respire et je vois".
Après s'être changés ils sont "poussés" dans une chambre. cette pièce se ferme puis s'emplit d'eau grâce à des robinets et enfin ils sortent. Toute la lourdeur de l'équipement disparait et fait place à un sentiment d’émerveillement. Cette sortie est basée sur la découverte, des descriptions précises pour faire face à ce qui était alors inconnu (évolution du sol, de la faune, de la flore, de la lumière). Lors du crépuscule, la forêt est atteinte. Les promeneurs prennent alors une pause aux alentours d'une heure.
"Étonné de ne pas ressentir un violent besoin de manger"; "J’éprouvais un insurmontable envie de dormir".
Au réveil, monsieur Aronnax a à ses cotés une "monstrueuse araignée de mer, haute d'un mètre"; cette rencontre permet de nous sortir de cet émerveillement et nous rappelle à la réalité. Aux alentours de quatre heures la randonnée touche à sa fin : ils font face à un "mur de rochers superbe et d'une masse imposante" qui correspond aux "accoues de l'île de Crespo" se qui signifie que ce n'est plus des domaines du capitaine, il refuse alors de dépasser cette frontière. Sur le retour le premier coup, tiré par le capitaine, atteint une magnifique loutre, une anhydre, d'un mètre cinquante. Le deuxième, par son compagnon, touche un admirable albatros. Deux heures durant, ils continuèrent à marcher. Lorsqu'il furent à proximité du Nautilus après avoir esquivé un couple de tintoréas (requins), ils repassèrent par la chambre et enfin furent rentrés.
Position : Identique à la veille puisque "Le Nautilus était absolument immobile"
La profondeur varie au cour de la journée : 10 mètres, 100 mètres, 300 pieds, 10 mètres et allant jusqu'à seulement 2 mètre de la surface et la pression à atteint les 10 atmosphères.
De retour au bateau, il reprend ses habitudes d'aller sur la plate-forme et s'est "parfaitement remis de mes fatigues de la veille".
Ce matin là, le capitaine Némo ainsi que 20 matelots sortent. Il s'en suit un discours, un monologue sur l'amour qu'il porte à l'étendue d'eau, il l'a compare à un réel être vivant "la vraie respiration de l'océan". Après ce discours enflammé ils rentrèrent.
Position : Les hauteurs de l'île Crespo ont disparues, le bateau prend une vitesse de vingt milles à l'heure.
"Pendant les jours et les semaines qui s'écoulèrent".
Ces jours marquent un réel changement de vision sur les hôtes : il est question de retour; cette machine devient leur espace interne, personnel; même des habitudes s'installent ce qui témoigne d'une certaine aisance.
Le point que je trouvais reporté sur la carte, de telle sorte que je pouvais relever exactement la route du Nautilus".
De la même manière que le second indique au professeur Aronnax leur position point par point sur une carte, notre narrateur nous informe, lui, date par date à travers son journal.
Position : Direction Sud Sud-Ouest
Entre 100 et 500 mètres de profondeur
Atteignent 2000 mètres de profondeur (thermostat à 4,25 centigrades)
Position : Le tropique du Cancer par 172°
Position : "En vue des sandwichs"; ont a parcouru 4860 lieues depuis le point de départ.
Le matin :
Position : Direction Sud-Est
Aperçoit à deux milles Hawaï la "plus considérable" des sept îles qui forment l'archipel.
Position : Équateur par 142°
"Là, les filets rapportèrent de beaux spécimens"
Position : à 3 milles, par 8°57' de latitude Sud et 139°32' de longitude Ouest, se trouve la pointe de Nouka (groupe des Marquises)
Ils font la "rencontrent" d'une horde de calamards. Grâce aux panneaux ouverts, Monsieur Aronnax constate
"On pouvait les compters par millions".
Le navire aura, entre ces deux précédentes dates, parcouru deux mille milles.
Alors que le professeur était plongé dans sa lecture, ses compagnons l'appeellent afin d'observer à travers les vitres : ils assistent alors à un véritable cauchemard, le naufrage du "Florida, Sunderland". Les squales se jettent déjà sur le dernier où demejrent encore des cadavres.
"inaugurait la série de catastrophes maritimes", cet extrait rappelle qu'il y a du bon et du maivais partout et en tout.
Par la suite ils atteignent l’archipel Pomoutou et plus exactement l'île Clermont-Tonerre. Ici y est vanté les biebnfaits de la biodiversité.
Position : Ensemble de l'archipel entre 13°30' et 23°50' lattitude Sud
Et entre 125°30' et 151°30' longitude Ouest
Direction : après le tropique du Capricorne en 135° de longitude, il prend Ouest Nord-Ouest.
Le 29 janvier :
Le capitaine Némo décide de faire couler le navire après que l’équipage
ait été attaqué par des pêcheurs de perles dans le golfe Persique. Il
ordonne à son équipage de charger le Nautilus avec tout ce qu’ils
peuvent récupérer du navire, puis il envoie un message à l’équipage du
navire pour qu’ils évacuent le navire avant qu’il ne coule. Le Nautilus
s’éloigne ensuite pendant qu’il s’enfonce lentement dans l’eau.
Le Nautilus se retrouve coincé sur un banc de sable dans la mer Rouge. Les tentatives du capitaine Nemo pour libérer le sous-marin échouent, et l’équipage commence à craindre pour sa vie. Finalement, un groupe de baleines à bosse apparaît et aide à libérer le Nautilus en poussant le navire hors du banc de sable. Le capitaine Nemo est ému par la gentillesse des baleines et permet à l’équipage de les observer de près avant de reprendre le voyage.
Aux alentours du 19 février (première plongée nocturne du professeur avec le capitaine), le Nautilus découvre les ruines de l’Atlantide, une ancienne civilisation avancée qui a été détruite par un cataclysme. Le professeur Aronnax et ses compagnons explorent les ruines et découvrent des objets remarquables, tels que des statues en or massif et des bijoux. Ils rencontrent également des créatures étranges, telles que des hippocampes et des poulpes, qui semblent garder les ruines.
Le Nautilus atteint les eaux du pôle Sud et rencontre des icebergs et des créatures marines étranges. Le capitaine Nemo et son équipage doivent faire face à des défis dangereux alors qu’ils naviguent dans ces eaux glaciales. Le professeur Aronnax et ses compagnons continuent de découvrir de nouveaux aspects de la vie à bord du Nautilus et de se poser des questions sur les motivations du capitaine Némo.
Le 20 avril :
« Cette terrible scène du 20 avril, aucun de nous ne pourra jamais l’oublier »
Dans ce passage, le Nautilus est attaqué par un calmar géant, qui s’accroche au sous-marin et tente de le faire couler. Le capitaine Nemo ordonne à l’équipage de se battre contre la créature, et une bataille acharnée s’ensuit. Finalement, le Nautilus parvient à se libérer de l’emprise du calmar, mais le navire est gravement endommagé. Un matelos y a également perdu la vie.
Le mai :
Le Nautilus rencontre un navire transportant des esclaves africains. Le capitaine Némo décide d’aider les esclaves à se libérer et ordonne à son équipage de les libérer de leurs chaînes. Cependant, les esclaves, qui sont armés, tentent de prendre le contrôle du Nautilus et de s’échapper. Le capitaine Némo parvient finalement à rétablir l’ordre et à renvoyer les esclaves sur leur navire.
Le 20 juin :
Le Nautilus est pris dans un tourbillon appelé le Maelstrom, qui est décrit comme l’un des plus grands tourbillons de l’océan. Le capitaine Némo ordonne à son équipage de tout préparer pour faire face à la tempête, et le Nautilus commence à être emporté par le tourbillon. Le professeur Aronnax et ses compagnons sont témoins de la force incroyable de la nature alors que le Nautilus est secoué et tourné dans tous les sens. Finalement, le Nautilus parvient à se libérer du Maelstrom et à s’échapper.
Conclusion
Le roman explore des thèmes tels que la nature humaine, la science et la
technologie, et les conséquences de l’isolement. « Vingt mille lieues
sous les mers » est un classique de la littérature d’aventure qui
continue de fasciner les lecteurs depuis plus d’un siècle.
Commentaires
Enregistrer un commentaire